Comprendre les tests fonctionnels
Il existe deux types de tests fonctionnels :
- Le test de progression,
- Le test de non-régression.
Le test de progression vérifie si une exigence qui vient d’être développée fonctionne correctement. Il est effectué avant la mise en production du produit. Le test de non-régression, quant à lui, vérifie si les évolutions et les corrections apportées à une version existante n’ont pas causé de régressions aux fonctionnalités déjà présentes.
Si, au cours d’un test fonctionnel, une action échoue ou que la vérification ne répond pas aux exigences, cela est considéré comme un bug. Il en existe deux types :
- Le bug d’implémentation qui indique un problème introduit lors du développement initial d’une exigence.
- Le bug de régression qui désigne un effet de bord introduit lors du développement ou de la maintenance corrective sur une exigence.
Quel que soit le type de bug, l’étape suivante consiste à le qualifier avec méthode et le remonter à l’équipe de développement. Les développeurs sont, en effet, chargés de lancer la phase de correction en produisant une version corrigée qui va obligatoirement devoir repasser par l’étape des tests fonctionnels.